Vidéo Le passage

J’avais 15 ans lorsque ma mère m’a emmenée en voyage à Constantine, sur la tombe de mon grand-père Jonathan Elbaz.

Des années plus tard, j’ai fait la promesse de retourner à la source.
En 2007, à Constantine, c’est en vain que j’ai erré dans ce cimetière à l’abandon sans retrouver la tombe de Jonathan. La solitude des morts m’a bouleversée.
Si mon grand-père n’avait pas choisi de rester à Constantine après l’indépendance de l’Algérie en 1962, je n’aurais pas pu trouver le chemin de mes origines. Il était mon seul lien avec cette terre. Lors de cette quête, je l’ai senti à mes côtés, guidant mes pas et me protégeant, dans cette ville où j’étais seule.


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