Aleyo

Si ma rencontre avec l’âme cubaine est un prétexte (comme l’Afrique devient sous la plume de Michel Leiris une métaphore de l’écriture de Soi, un champ d’énergies), elle m’a permis d’effectuer ce nécessaire voyage intérieur vers mon africanité et ma psyché.

Elle m’a ainsi autorisé un nouveau langage de lumière dans un imaginaire qui m’est propre.

En Yoruba, la langue des esclaves du Nigeria déportés à Cuba, Aleyo signifie l’étrangère ou l’invitée.

Les photographies s’offrent comme témoins d’un périple initiatique. Leurs résonances renvoient à l’héritage d’un peuple, qui armé d’une irascible fierté, a fait de la résistance une culture. Se compose ainsi une trilogie, à la fois cri et chant, qui s’articule autour du sacré, du corps et du politique .

2006-2007


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